3/29/2006

un samedi matin

Pour rattraper un jour de stage ou j'étais absent, on m'a proposé de venir travaillé un samedi matin.
La veille, avant que je rentre j'ai moi, une personne x, me dit :
- Demain on va travailler ensemble.
Pour moi, il était clair que je travaillerai avec cette personne, et c'est pour cette raison que le samedi matin, j'étais très détendu, et j'ai fais mon travail comme si de rien n'étais, et à ma grande surprise, j'ai vu une autre personne, je me suis senti l'espace d'un instant trahi, mais ce qui se passera par la suite confirmera que cette personne X est une grandes dame.

Ce que je vais écrire est hors sujet, mais je suis incapable de dire à madame x, ce que j'ai sur le coeur.
Florent Pagny, dans une de ses chansons ou il dit ceci : Merci, consernant ses parents, qui lui on fait confiance quand il débarque à Paris à l'âge de 16 ans.
Madame X , je regrette sincèrement qu'on n'est pas travaillé plus souvent ensemble, car ça a été un vrai bonheur, de travailler dans la bonne humeur en donnant à chaque fois le meilleur de soi-même. Je regrette de ne pas m'être confier à vous, car vous êtes une personne à qui on peut se confier et qui sait garder un secret. Vous avez toujours été disponible pour moi; même quand vous n'étiez pas disponible pour moi. Ce que je vais écrire maintenant j'aurai du vous en parler.

Merci pour votre discretion, Merci de tout l'aide que vous m'avez apporter; sans rien attendre de ma part. Vous êtes une grande dame.

-J'ai peur de faire la toilette à une personne âgée du sexe féminin et qu'une fois le bain ou la douche terminée, cette personne dans l'après-midi rencontre par hasard la directrice, ou une personne de son entourage pour lui dire :
-Un stagiaire à eu sur ma personne des attouchements ou il m'a violée.

Il y a déjà eu des précedents comme quoi un homme à violée une personne agée et cet individu travaillait au sein du corps médical.
Dans ce cas bien précis qui va t-on croire, le stagiaire ou la personne agée? Et qui prouve que la personne invalidante ne dit pas la vérité?

Pour ne pas rencontré ce type de problème, j'ai volontairement éviter de m'occuper des personnes du sexe féminin.

l'importance de la visite dans une maison de retraite, une prison, un hôpital psychiatrique

Mon vécu personnel se situe dans un hôpital psychiatrique, mais il aurait très bien pu se situer
dans une prison ou dans une maison de retraite.

Je me souviens de c'est deux semaines passé à l'hôpital psychiatrique de Bondy. Quand une personne de notre entourage venait nous rendre visite, on était comme des chiens en chaleur,
on lui faisait la fête. Si j'ai employer volontairement le nous, c'est quand une tierce personne venait rendre visite à Paul, il était dans l'obligation de dire quelques mots à X ou à Y.
Une fois la visite terminée, mes colocataires venaient me dire, en ce qui me conserne ma mère:
- J'aime bien parler avec ta maman
ou
- Tu sais ta maman elle est vraiment gentille.

Quand on vit 24 heures sur 24 dans un même endroit, sans pouvoir sortir, avec toujours les mêmes personnes et en étant continuellement oisifs, on perd très vite la notion de l'heure; tout ce qui comptait à nos yeux , c'étais le moment du petit-déjeuner, déjeuner, et diner.
Qu'on soit un lundi, un mardi ou un jeudi, on s'en foutais royalement, puisqu'il n'y avait aucune différence à l'intérieur de nôtre existence entre le lundi et le dimanche; alors pour que le temps passe plus vite, on allait dans notre chambre dormir.
Les mois, les années, elles s'évaporent très rapidement de notre subconscient, à tel point qu'on devient très rapidement indiférent à ce qui se passe autour de nous. Les seuls préoccupations qu'on avait été de dormir, manger, que des personnes extérieurs viennent nous rendre visite, et
comment faire pour ne pas devenir plus fous qu'on pouvait l'être.

Quand j'ai voulu en parler avec le psychiatre de mon manque d'inactivité. Il a fait la sourde oreilles, et il m'a proposé de rester dans ce lieu, une semaine de plus, et je lui ai dit :
- d'accord! A condition qu'il prenne ma place.












Formation d'auxiliaire de vie sociale

J'ai répondu a une question que me posais une personne du corps médical.
Il faut savoir que cette personne cotoie fréquemment des auxiliaires de vie sociale.
- J'ai l'intention de préparer le diplôme d'auxiliaire de vie sociale.
C'est comme si j'avais parlé Arabe à un Turc qui parle uniquement le Japonais.
A ce moment précis il y a trois questions qui se bousculent dans mon esprit :
- A quoi consiste le travail d'une auxiliaire de vie sociale?
- Que c'est-elle de la formation d'auxiliaire de vie sociale?
-Es qu'on ne confond pas le métier d'aide-soignant avec celui d'auxiliaire de vie sociale?


Faisons un bon de quelques semaines dans le passé, pour mieux comprendre cette situation?

Le jour ou il a fallu chercher un stage dans une maison de retraite, parmi toutes les réponses
négatives que j'ai eu au téléphone, il y a eu un homme qui a eu le courage de me dire ce qu'il
avait sur le coeur.
Guy Béart dans une de ses chansons disait:
- Celui qui dit la vérité, il doit être exécuter.
Sa réponse était clair et sans ambigüité.
- Je ne prends pas et je ne forme pas des auxiliaires de vie sociale, car je sais ce qui ce passera
par la suite.
Cet homme avait beaucoup de bon sens.
Pourquoi former une auxiliaire de vie sociale, dans une maison de retraite, quand on sait pertinemment qu'aucune auxiliaire de vie sociale ne travaillera dans une maison de retraite?
Cet homme avait dans sa voix du dépit; c'est beaucoup plus tard que j'ai compris la raison
de son malaise.

Vous formez une personne et très rapidement vous vous rendez compte qu'elle est au-dessus
du lot et vous souhaitez la gardée, malheureusement depuis le départ, vous savez que c'est misssion impossible, puisque cette personne ira travailler dans une autre structure.

Prenom un autre exemple : l'équipe de football du club d'Angers qui joue en quatrième divisions.
Elle forme quantités de joueurs, mais ceux dont elle souhaiterait garder partent pour le PSG, Marseille.
Es que le football club d'Angers aura encore envie de former des footballeurs ?


Quand j'ai fais mon stage dans cette maison de retraite, je pensais en savoir beaucoup sur cet établissement, car une personne de mon entourage avait réussi à me procurer une documentation sur cette maison de retraite.
Dans ma tête c'étais très clair, il y avait un étage contenant le cabinet de masseuse, coiffeuse, docteur, pédicure... avec des horaires et des jours bien précis. Salle de bibliothéque, avec quantité de livres, une grande salle de cinéma. Un étage pour les hommes, et un étage pour les femmes.
Alors quand j'ai découvert que j'avais faux sur toute la ligne, j'étais triste, quej'ai complètement oublier le traque consernant mon premier jour de stage.

Au fur et à mesure de mes quatre semaines de stage, il y a des choses qui auraient dû me surprendre ; mais j'étais tellement dedans que je n'ai rien vu, pourtant cela aurait dû me sauter aux yeux; c'est par hasard , en lisant un bouquin sur la formation d'auxiliaire de vie sociale, que je vais réussir à mieux cerner en quoi consiste le rôle d'auxiliaire de vie sociale.

Peut-on demander à des infirmières, à des aides-soignantes de remplir un rapport de stage, pour une personne qui fait une formation d'auxiliaire de vie sociale?
- Que savent-elles de cette formation?
-Es que la note qu'on va donnée à cette personne est objective?

Pour etayer mes propos, un jour j'ai voulu racommoder une paire de chaussettes, pour une des personnes de la résidence. J'ai eu le droit à des regards bizarre de la part du corps médical;
c'est comme si je faisais quelque chose d'extraordinaire, alors que dans la réalité l'auxiliaire de vie sociale doit savoir coudre.

Dans le livre on nous dit qu'il faut travailler en réseau, pour être plus clair, il faut être capable de travailler avec les autres acteurs du corps médical, pour cela il faut savoir avec précision en quoi consiste leur travail.
Exemple : Je suis dans l'impossibilité de dire en quoi consiste la formation BEP sanitaire et sociale action personne âgée?

Ce que j'écris maintenant, c'est mon point de vue personnel et cela n'engage que moi. Sur les quatre semaines du stage découverte. On lui laisse deux semaines pour apprendre et maîtriser
-C'est quoi au juste un stage découverte?
tous les gestes qui on un rapport avec la toilette, ensuite l'auxiliaire de vie sociale, changera régulièrement d'étage, idem en ce qui conserne les horaires; dans le seul but qu'il apprenne le plus rapidement possible son métier, et qu'il soit constamment en situation de danger et non en situation de confort.

3/26/2006

Le Chien

C'est l'histoire d'un Chien
qui était très avare de ses sous.
Quand il rentrait dans une église,
il donnait la plus petite pièce
qu'il avait dans son porte-monnaie.
Les gens qui le connaissaient
le surnommait Picsou.
C'est seulement à sa mort
que les habitants du village
découvrirent que Picsou,
et le donateur anonyme
était la même personne.

Le Cabillaud

C'est l'histoire d'un Cabillaud
qui n'arrêtait pas de parler
de ses bourrelés,
car perdre du poids
lui paraissait aussi insurmontable
que de jouer du hautbois.
Pourtant, il fallait bien trouver
une solution pour maigrir,
pour ne pas devenir aussi gros que Casimir.
Il essaya quantités de régimes,
ou il se sentait plus une victime anonyme
de tout ceux qui promettent mon et merveille

Le flamant

C'est l'histoire d'un Flamant
qui avait un visage méchant
alors il supplia Dieu,
pour avoir un visage harmonieux,
mais là haut,
on n'était pas très chaud,
alors le seigneur lui répondit :
- Tu iras au paradis,
le jour ou tu auras compris,
que le bonheur
c'est d'avoir un coeur.
Que tes problèmes,
son minime quand on s'aime,
alors essaye de t'accepter
pour ce que tu es,
et arrête de chercher
le bonheur là ou il est,
est non là ou il n'est pas.

le Bernard l'Ermite

C'est l'histoire d'un Bernard-l'Ermite,
qui avait plein de nouvelles inédites,
mais il ne souhaitait pas qu'on les édites,
car il pensait qu'elles étaient mal construites
A sa mort,
son fils les envoya à un éditeur,
qui après les avoir lu l'édita;
sans penser un seul instant,
que ce livre deviendrait très rapidement
un best-seller.
Celui qui ne croit pas en lui,
à peu de chance de réussir dans la vie

l'Araignée

C'est une Araignée,
qui aimait tant jouée
à la balle aux prisonniers,
qu'elle oublia,
jour après jour de mangée
Un matin, elle se réveilla
avec des crampes d'estomacs,
et peu de temps après,
elle mourut dans l'anonymat.
Je sais très bien que cette histoire
est immorale,
mais jouer ou manger
il faut choisir.

Alouette

C'est l'histoire d'une Alouette,
qui aimait jouée de la trompette,
chantée à tue-tête,
allée dans les bals musettes;
n'importe quoi,
pourvu qu'on puisse faire la fête;
mais la vie n'est pas fait
que de rêves obsolètes,
Il faut penser chaque jour ,
à gagner sa baguette.

La méduse

C'est l'histoire d'une Méduse
qui chaque matin buvait
un verre d'arquebuse,
en cachette derrière une écluse.
Quand une personne lui demandait
ce qu'elle faisait là,
Elle répondait :
-Je m'amuse à boire de l'arquebuse,
En oubliant que cette excuse
l'éloignait progressivement
du monde des Méduses.

Le scorpion

C'est l'histoire d'un scorpion
qui avait comme ambition,
de devenir champion
des additions.
Pourtant combien de gens lui disait :
- Tu es cent fois meilleurs en dicertation,
ou en récitation;
alors pourquoi tu t'obstines autant
à vouloir faire des additions?
Il leur répondit :
-J'ai comme passion d'être un fou
des additions.

3/18/2006

pourquoi les echos de Belleville

Ce qui m'a intrigué en écoutant la radio ou en regardant la télévision, c'est qu'il y avait quantité de personnes qui écrivaient des BLOG, et je pensais à tord qu'il fallait avoir quelques connaissances en informatique pur pouvoir ouvrir un blog; d'autre part, je pensais que BLOG s'écrivait Blogue.

Quand j'ai entendu qu'une personne du corps enseignant a été licencié, par ce qu'il a ouvert un blog dont les propos étaient soi-disant diffamatoire. Il faut avoir de la chance pour savoir qu'une personne autour de vous a un blog; à moins d'en parler, il y a peu de chance qu'on le sache; d'autre part ils sont des millions dans le monde à écrire sur un blog.

Le blog aujourd'hui, a tendance à remplacer le site personnel, ainsi que ceux qui racontaient leur vie dans des cahiers à spirales.

Je pensais que pour ouvrir un blog, cela me prendrais beaucoup de temps, pas du tout, en trois
minutes j'avais réussi à l'ouvrir ; grace au moteur de recherche qu'est Google.

Si j'ai demander à une personne le journal les Echo de Belleville, c'étais pour le mettre sur le
blog, mais la plupart des textes qu'il y a à l'intérieur du journal, sont écrit dans un language parlé et non dans une écriture littéraire, d'autre part il y a pas mal de bonnes idées, mais pour cela il faudra que les développes aux maximum de leur possibilité, en supprimant volontairement certains élèments, pour donner plus d'authenticité au texte; c'est pour cette raison que dorénavant je vais passer plus de temps à parler avec certaines personnes pour que ce blog soit plus vivant, et si j'en ai la possibilité j'y incorporerai des images.

Ce que je vais écrire maintenant fait parti du domaine artistique. Beaucoup de dialoguistes, des gens qui écrivent des chansons, des écrivains, ont ce que l'on peut nommé comme des photos flashs. C'est des images d'une banalité déconcertante, prenom comme exemple : Une femme est assise sur une chaise avec deux têtes d'oreillés derrière sont dos, et un peu plus loin je découvre sur un mur des palmiers, du sable et la mer. Qui peu penser que c'est deux images sont liées l'une à l'autre et que je vais écrire une nouvelle en incorporant certains éléments que j'ai en ma possession concernant cette personne. C'est sûrement de cette façon qu'on a écri Comme d'habitude de Claude François.

3/17/2006

ma méthode de travail

Pour comprendre le pourquoi du comment, il faut faire quelques bons dans le passé.
Pour des raison x, j'ai séjourné deux semaines dans un hôpital psychiatrique; c'est dans ce lieu ou soi-disant on ne rencontre que des fous que j'ai pu approfondir certaines de mes connaissances sur le monde de la maladie mentale. Rester deux semaines sans sortir, et savoir qu'a heure fixe, il y avait le petit-déjeuner, le déjeuner, le diner, et le reste du temps on était oisif; à tel point que j'ai faillis devenir fou; mais je n'ai pas beaucoup aimé l'attitude du corps médical, qui n'arrêtait pas de papauter entre-eux et à aucun moment ils n'ont fait l'effort pour parler avec nous; comme si on était atteint d'une maladie honteuse; les seules fois ou ils le faisaient, c'étais pour nous réunir, pour partir à la cafétéria pour manger.
Parmi toute les personnes que j'ai cotoyé à l'hôpital psychiatrique, j'étais dans l'impossibilité de leur donner un âge, ainsi que leur profession.

Avant de passer mon CAP de patisserie, j'ai effectué un stage dans une boulangerie-patisserie,
ou j'ai appris quantité de chose. Quand un client rentrait dans cette boulangerie-patisserie, il pouvait voir le boulanger-patissier travailler, en même tant qu'il achetait son pain; et comme il travaillait avec sa femme, il ne se cachait pas pour lui dire je t'aime, ou pour l'embrasser sur les
lèvres devant leurs propres enfants.
J'étais très intimidé quand je travaillais avec cette personne, car il était amoureux de son métier,
et à chaque fois qu'il faisait quelque chose, c'étais comme si il l'effectuait pour la première fois.
Il savait adapter son humour en tenant compte si c'étais un client occasionnel ou un habituer; après il venait m'expliqué pourquoi il se permettait de parler de chose plus intime avec cette
personne; c'est grace à lui que j'ai appris qu'il y a des sujets qui peuvent heurter la sensibilité du client; même si on connait cette personne de longue dâte.

Par respect pour tout individu je me mets volontairement des gardes-fous, qui sont les suivants : Accepter la personne tel qu'il est ou tel qu'il se montre, quelque soit son passé, son niveau d'instruction, son appartenance religieuse, politique ou culturelle; c'est pour cette raison que je ne pose pas des questions embarassante du genre :
- Es tu échangiste? es tu homosexuel? Avez vous quelqu'un dans votre vie? Vous habitez où?
Combien d'enfants avez-vous? Pratiquez-vous régulièrement le triolisme? Etes vous zoophile?
Car si la personne ne souhaite pas en parler je respecterai volontier sa décision.

dernièrement je suis allé passé des examens médicaux, pour faire un don de moëlle osseuse, et on m'a remis deux questionnaires. Un que je devais rempli moi-même, et l'autre c'étais un médecin qui me posait quantité de questions et à la fin du questionnaire il y avait deux questions qui le turlupinait : Pourquoi je n'ai jamais embrasser un homme ou une femme, et pourquoi je n'ai jamais eu de relation sexuel avec un homme ou une femme?
Il n'ose pas me demandé si c'est un choix religieux, si j'appartiens à une secte, ou si en se moment je suis suivie par un psychologue, un psychiatre ou un sexologue?


cela n'empêche que je connais beaucoup de sites de rencontres par internet dont le plus connus
qui est MEETIC.
Je reconnais que j'ai entre 7 et 10 propositions pour rencontrer une femme en ile de France,
mais j'ai d'autres préoccupation que de chercher l'âme soeur; car si je souhaitais rencontrer quelqu'un cela me prendrais que 5 minutes de mon temps.

vanessa

L'inspiration de ce sketch ou de cet hommage a Vanessa, je l'ai eu en la chanson de Sardou :" Il était dans son fauteuil, le spectateur du premier jour. Il parle de son père" Ce sketch est un sketch de fin; qui fait parti d'un dès sketch des pessimistes sont de retour ou des pessimistes n'en font qu'a leur tête. Quand je lis ce texte, j'ai beaucoup de mal à ne pas pleurer.

Avant de nous quitter,
je voudrai remercier Vanessa
Je ne sais pas ou tu es aujourd'hui,
mais les années on passées
je veux que tu saches que personne
n'a jamais autant pris de place
que toi dans mon coeur.
lors de notre dernière rencontre
tu m'as dis deux choses très importante :
-J'aurai du mal à t'oublier.
Il y a peu de chance pour que cela arrive
- aide ton prochain si tu le peux.
J'ai fais ce que j'ai pu; même s'il y ades moments
ou j'aurai bien voulu entendre de la part
de certaines personnes un Merci.
Tu m'as offert les plus beaux moments
de ma vie.
Il était impensable
que je ne parle pas de toi,
car tu as été le soleil de ma vie,
et la plus grande blessure aussi.

Telegraphe

Télégraphe, c'est le nom d'une rue qui aurait pu faire mon bonheur;
au-lieu de cela 12 rue Télégraphe a été le lieu d'une blessure d'enfance qui sait refermer
que partiellement, car c'est la première fois ou j'ai aimé quelqu'un.
Je n'ai jamais réussis à oublier son nom ainsi que son prénom : Marie-laure B.....
J'avais 12-13ans et je croyais que le but des religions étaient : Aimons-nous les uns des autres.
C'est des années plus tard que j'ai compris la signification de la religion, en allant au cinéma voir le Mabharata de Peter Brooks (l'un des plus grands metteur en scène au monde; à ne pas confondre avec Mel Brooks qui est un réalisateur américain ), qui essaye de donner une explication de ce qu'est la vie.
Dans un premier tant on voit des gens au sein d'une famille qui se parle, ensuite on nous parle de l'amour, le jeu, la jalousie, et pour finir la guerre. A la fin du film, il y a un dès deux personnages qui demande à l'autre : qui sont les gentils et qui sont les méchants, et la réponse de celui-ci est :
-La vie c'est un perpétuel recommencement , il n'y a pas de méchant, pas de gentils; cela dépend
de quel côté on regarde les choses.

Telegraphe et la mort. Les deux sont étroitement lier, car à 13 ans, j'avais un seul but dans la vie: me tuer, mais pas n'importe comment, il fallait que la voiture me percute de face, que je fasse un roulé boulé, que je passe au-dessus de la voiture et c'étais l'autre voiture qui m'étais fin à ma vie.
Quand je devais traversé une rue, c'étais : attention danger, car je ne regardais ni à droite ni a gauche, et je ne respectais pas les distances de sécurité; a chaque fois que je traversais la rue, je jouais ma vie au quitte ou double.

Télégraphe et mon vélo : A l'endroit ou il y a un kiosque à journaux, juste à côté, il y avait un
marchand de vélo, et ma mère m'a offert mon premier vélo qui contenait quatre roues, et du métro Telegraphe jusqu'en bas de la descente je faisais du vélo; par la suite, j'ai eu un deux roues
. J'avais pris l'habitude de lever le bras droit et de tourner à gauche, car pendant longtemps j'ai eu du mal a savor ou était ma droite de ma gauche, et sur la route, je prenais des risques insensés. C'est par hasard que j'ai découverts que des voisins à ma grand-mère parlait de moi et de ma conduite sur la route en des termes peu élogieux; j'étais sans le savoir une sorte de Pierrot le fou.
Quand j'ai eu mes 18ans, et qu'on m'a proposer de passer mon permi de conduire, j'ai toujours
refusé, car je n'ai pas conscience du danger en tant que conducteur, et j'ai peur en voiture.

Commentaire :
Quand on écrit à une personne qui fait de la prison, il faut avoir en tête qu'on doit donner
100 voir 200 pourcent de sa personne et ne rien attendre en retour; car une personne qui se trouve en prison n'a rien a dire.

Le premier texte que j'ai écris sur Télégraphe , je peux l'envoyer à un prisonnier, car il est
différent de ce qu'il a l'habitude de lire.

Telegraphe et la mort: Je ne peux pas l'envoyer à une personne qui a fait de la prison, car il
y a des sujets qu'on n'a pas le droit d'aborder, et la mort en fait parti.

Télégraphe et mon vélo : c'est plus une fable, avec comme moral : la route est un danger pur tous, alors quand on en a pas conscience, mieux vaut s'abstenir de conduire tout engin qui peut provoquer la mort.

Sida : poème intime

Ce poème à été publier le mercredi 19 mai 2004,
par le Lycée Technique du Centre, Luxembourg.

Ce poème fait parti d'un autre blog que je suis en train de mettre en forme et qui a pour titre:
le-sida.

Sur le regard illusoire
Que mes yeux portent sur le monde
La vie est parfaite
Sans un semblant d'erreurs
Ni de mauvaises pensées
A l'égard de personnes différentes
A mes yeux tout le monde s'aime
Sans aucune exception
Personne ne juge les autres par rapport
A une race, une religion, une maladie
Ou une vie sexuelle hors du commun
Et pourtant un jour mes yeux
Cessèrent d'être aveugles et innocents
Tel un enfant pur et insouciant
J'ai pu apercevoir au fil des années
A travers une étreinte grandissante
Que le dégoût et la répulsion
Exitent en chacun de nous
Certains l'éprouvent envers des animaux
D'autres envers des musiques ou des couleurs
Et d'autres encore contre des personnes
Moi, ce qui me dégoûte ce sont ces gens
Qui osent porter des jugements sur des êtres
Homosexuels ou séropositifs
Cela me désole de voir tant de gens
Gaspiller leur salive
Pour établir des différences dans la société
Juste parce que leur mode de vie
Ne leur convient pas
Cela me révolte que des êtres tel que vous et moi
Soient mis à l'écart
A cause d'une maladie
Qu'ils ne peuvent soigner eux-mêmes
Alors si au lieu de les regarder
De travers et de murmurer tout bas
" Regarde celui-là, il est porteur du Sida"
Nous rassemblions nos forces
Pour trouver un remède à ce mal
Qui nous empêche de nous aimer librement
Alors nos regards se tourneraient vers la vie
Et laissant derrière nous le mal et les tragédies
Qu'a causé au fil de ces années
Cette terrible maladie.

3/16/2006

ma bissexualité

Pourquoi je n'ai jamais eu de relation sexuelle?
J'aurai très bien pu répondre par une entourloupe, du genre :
par ce que j'avais un père Guadeloupéen.
Ralph Tamar, dans une de ses chansons disait : Je nais ici et pourtant je ne suis pas d'ici.
Combien de fois j'ai entendu de la part des personnes métissées cette phrase.
Je ne parle pas le créole et comparer à certaines je ne sais pas l'écrire, et je ne connais pas du tout l'histoire des antilles, et j'écoute très peu de musique antillaise.
La famille du côté de mon père on repproché à tord à ma mère, le fait que je ne souhaitais pas passer mes vacances en Guadeloupe. Il suffit que je sorte de l'avion pour être malade, car je supporte pas la chaleur, et la mentalité antillaise m'indispose, un exemple qui m'a sidéré, mon père m'amène chez une personne; c'est ce qu'il y a de plus banale. Il ouvre la porte et je vois une pièce avec des chaises tout autour et milieu un cercueil avec le corps d'un jeune homme embommé, et à un moment donné certaines personnes se mettent à rire, et moi je n'ai pas très bien compris pourquoi ils rigolaient?
Mon père est le seul type qui est capable de faire brûler un steak haché en le regardant;
je ne sais connais pas sa recette; mais il faudrait que le livre des records l'inscrive dans la catégorie tête en l'air.
Mon père avait prit l'habitude de ne pas écrire, et le téléphone à cette époque là il avait du mal à trouver la bonne touche; donc au bout de cinq ans sans aucune nouvelle de lui, il frappe a la porte un mercredi après et comme il y avait un bordel à la maison j'ai pas ouvert, et le soir il est revenu et au tout début de la conversation, il se vante sur le fait qu'il avait peu de chance qu'on
le reconnaisse; ma mère et moi on a jouer les hyppocrites de premières.
Ce qui est très agréable quand on a un père comme le mien, c'est quand j'avais 13 ans, j'étais beaucoup plus adulte que lui, et comme il ne me posait pas beaucoup de questions sur ce que j'aimais, et ce qui m'intéressais.
Se promené dans la rue ou dans les grandes surfaces avec mon père c'est un réel plaisir,
car j'ai jamais pu parler avec lui, il n'arrêtait pas de regardé à droite ou à gauche pour voir s'il n'y avait pas une jolie, et quand il avait trouvé sa proie il fonçait dessus.
Le jour ou il m'invite chez une de ses amis qui avaient des enfants. J'ai su qu'il avait coucher avec elle par ce que le lit était défait.
Les antillais aux antilles quand ils conduisent une voiture et qu'il voit une jolie fille c'est castas-trophique, car en plus de sifflet ils s'arrêtent, ils klaxonnent, et parlent souvent pour ne rien dire.
Du côté de ma mère cela le coup, quand je regardais une fille, ma mère me disait : tu ressembles
a ton père; ce qui fait qu'a chaque fois que j'étais avec elle, je marchais deux fois plus vites qu'elle.
Quand j'ai découverts bien malgré moi ce que c'étais l'homophobie, j'étais amoureux d'une fille qui se prénommait Sandrine et pendant deux elle a tout fait pour que je l'embrasse; elle a jamais réussi
, car j'avais peur d'elle et j'ai jamais oser lui demander si elle pouvait arrêter de faire des régimes
à volonté, car c'étais un squelette ambulant; donc pour une fille de ma classe a eu l'intelligence de me poser deux questions qui fait que du jour au lendemain, j'étais l'élève le plus connu du collège :
- puceau c'est quoi ?
- Le petit de la puce
-rouler une pelle?
- Tu prends une pelle et tu la roule.
Le nombre de fois ou on va me poser ces deux questions; j'ai éviter de les compter; par contre
parfois cela me faisais tellement mal que je quittais les cours plus tôt que prévue et j'allais me promené loin du collège, pour ne pas qu'on me voit pleurer, car c'étais ce qu'ils souhaitaient.
Si j'ai dû repasser mon CAP de comptabilité car il y avait une fille qui était d'origine portugaise,
et qui s'intéressait à moi, et elle en a parler à sa copine. La réponse de celle-ci à été sans équivoque :
- il est homosexuel.
Alors que la réalité était que je j'aime les femmes a fortes poitrines.

J'ai fais mon service militaire à Berlin, et quand je suis revenu de ma permission, j'ai acheté
deux magazines pour l'équivalent de 250frs les deux, donc je réponds à quelques annonces
qu'il y avait à l'intérieur des magazines; mais copains de chambre sachant cela vont me prendre pour un obsèdè sexuel; malheureusement c'est ma mère qui est tomber sur les photos osées.
C'est seulement le dernier jour que j'ai appris qu'il y avait un bar à pute qui se trouvait à dix
minutes de la caserne.

Au retour de mon service militaire j'ai consulté les pages jaunes, pour savoir s'il y avait une librairie antillais et j'ai découverts qu'il y en avait effectivement une qui se trouvait à Pigalle, donc j'y suis allé et elle n'existait plus, donc comme j'avais mal aux jambes je suis rentré dans une sallex, et pendant plusieurs heures j'ai vu quantité d'hommes allés aux toilettes.
La réponse que je me suis faite, c'est que tout ces hommes avaient mangé dans le même restaurant un plat épicé.
Quelques temps après un homme est venu s'asseoir à côté de moi, et il a ouvert sa braguette et j'ai vu sa bite qui était en érection, et la première pensée qui m'est venu à l'esprit c'est de lui sucer la bite, et comme j'avais honte de pensée une telle chose, je suis sortie de la salle en quatrième vitesses; c'est seulement quelques mois plus tard que j'ai découverts avec certitude ma bissexualité.

Fatima

Avant d'écrire le skecth Fatima, je vais expliquer l'histoire de ce skecth

Je vois Fatima dehors en train de converser avec une autre personne et elle a un rouge à lèvres tellement fort que j'ai envie de rire, et la façon dont elle me fait la bize; je sais à ce moment là que je vais écrire un sketch sur elle.
Quelques jours plus tard je la vois entre deux étages et je lui parle du fait que j'ai écris un skecth sur une personne, sur ton corrosif; et suis très surpris que la personne après m'avoir écouter me demande le skecth et ne me donne pas une gifle en pleine figure:
Voici le texte :

La guenon

C'est une guenon
qui ne pêtait pas plus haut
que son cu
qu'une demoiselle lui a dit :
vous êtes belle bien entendut
Devant un tel compliment
elle se mit à rougir ,
en pensant à ses petits plaisirs;
car c'est bien connu
qu'une Guenon n'est pas si con
Si vous en rencontrer une
dites le à mes amis
que ce n'est pas moi
qui a écrit ce texte
Je vous remercie.
Le sketch de Fatima est une fiction, d'autre part, c'est une broche, ou plus précisément ce quelques idées qui me permettront d'ici quelques jours d'écrire mon spectacle, j'aurai aimé pouvoir jouer ce sketch avec elle; sans qu'elle sache ce qu'elle va dire à la phrase suivante,
et aussi devant les personnes âgées, car j'aurai voir leur réaction; mais on ne fait pas toujours ce que l'on veut dans la vie.
Elle- Mon nom ne vous dira sûrement rien ,
car je danse uniquement dans ma salle de bain;
de peur d'entendre à longueur de temps,
trop d"éloges sur ma personne, du style :
lui- Vous danser aussi bien que Fred Astair,
Ginger Roger.
Vous avez une chance de cocue, car en ce moment,
je suis en train d'écrire une comédie musicale,
qui se jouera à Broadway, au palais des congrés de Paris,
et dans d'autres salles aussi mythiques:
Je vois déjà le titre en gros caractère :
Une marocaine à Paris.
C'est l'histoire d'une jeune marocaine
qui débarque à Paris,
pour passer quelques jours de vacances,
en compagnie de ses parents,
qui un dimanche après-midi,
l'amène voir la comédie musicale :
Roméo et Juliette.
Une fois le spectacle terminé, la petite fille
se tourne vers sa mère pour lui dire:
Elle- Un jour le monde entier,
viendra des quatre coins de la planète
pour m'applaudir.
Lui- Sa mère lui répondra :
Elle-Bien sûr ma fille, cela ne coûte rien de rêver!
Lui-Dix ans plus tard la petite Fatima
qui vient juste d'avoir ces dix huit ans,
décide contre l'avis de ses parents
de monter à Paris;
avec toute ses économies en main.
On voit toute les difficultés qu'elle a pour trouver
un logement, pour se nourir, et pour vivre pleinement
de sa passion,
mais à force de volonté,
elle gravira tout les obstacles,
pour devenir plus célébre
que la marque Coca cola.
Elle- Des scènarios de ce genre,
j'en aurai eu des tonnes,
mais par modestie,
je n'ai jamais oser passer d'audition,
et puis combien de couples se séparent
après le succès d'un dès deux partenaires.
En ce qui concerne ma vie sexuelle,
elle est débordante, à tel point,
qu'il suffit que je claque des doigts,
et aussitôt une horde d'hommes courent vers moi,
pour m'offrir un bouquet de roses.
Dernièrement, je me promenais toute seule
dans la rue,
quand un homme est venu m'accostée, pour me dire :
Lui- Vient chez moi que je te dévalise.
Elle- Je lui es répondu : laisse béton et puis marche à l'ombre.
Si dans la salle il y a des célibataires
qui ne savent pas quoi faire de leur argent,
qu'ils me le donnent , je serai ravi de le dépenser
à leur place.
Lui- Te voilà enfin! cela fait près d'une heure que je te cherche.
Elle - Pourquoi me cherchez-vous, puisque j'habite ici?
Lui- Excuser-nous chers spectateurs,
pour la gêne que nous vous qu'osons un plein spectacle,
mais cette femme, vient de s'échappéé pour la dixième fois
d'un asile de fou.
A force de la chercher partout,
on va devenir plus fou qu'elle.
Si dans la salle quelqu'un la veut ,
qu'il ne se prive pas de me le dire,
l'hôpital sera enchanter de le lui offrir, dans un joli papier-cadeau.
Les seules contraintes, c'est qu'il faut la nourir,
la sortir, lui achetée quelques habits de tant en tant.
La dernière fois qu'une personne la prise comme femme de ménage,
elle est restée quinze jours chez la personne.
Le dix huitième jours, on reçoit un colis,
avec écrit tout autour : N'habite plus cette adresse.
A l'intérieur, il y avait cette folle, qui était assise
sur une chaise et qui lisait femmes actuel.
Elle- De nos jours les gens sont d'une ingratitude
on leur offre un cadeau, et il nous le retourne
avec une petite carte, ou il est écrit dessus :
Cela nous a fait très plaisir, mais cela sra plus utile
pour une autre personne.
Je pense qu'un jour, je vais offrir à une personne
une carte bristol avec écrit dessus:
Voici vôtre cadeau. Que je mettrai dans une enveloppe
entourer d'un très joli papier cadeau.
Au moins, je suis sûr d'entendre de la bouche
de la personne un merci.

Pourquoi j'ai souhaité correspondre avec des détenus

Si j'ai souhaité correspondre avec des détenus, c'est sûrement dû au fait que je détestais écrire quand j'étais enfant.

Quand j'allais en colonie de vacances, je détestais ouvrir un bloc note pour correspondre avec les membres de ma famille; car je ne me rendais pas compte de l'importance des mots sur une feuille de papier; c'est pour cette raison que j'écrivais toujours des banalités du genre : Peux tu m'envoyé un petit colis contenant des bonbons, ainsi que des gâteaux; sans me préoccuper de savoir qu'il y avait une boutique à quelques mètres de mon lieu d'hébergement.
Pas une seule fois ul me serait venu à l'esprit de décrire les différentes activitées que j'effectuais au sein de la colonie; comme si je trouvais mon attitude tout a fait normal.

J'ai commencé à prendre conscience de la puissance des mots, quand au cours de musique notre
professeur nous a demander d'apprendre la chanson : Les enfants d'Ethiopies; chanson écrite par Renaud. J'ai cru comme beaucoup d'autres enfants de treize ans, qu'on pouvait érradiquer la faim dans le monde; aujourd'hui , je me rends compte que c'étais naïf de ma part de croire à cette utopie, et puis qui se souvient de cette chanson?

Quand j'ai voulu passer mon CAP de comptabilité, j'ai détestais le professeur de français, car quand il y avait une rédaction ou une dissertation, elle avait remarqué que je prenais une heure sur les deux heures qu'on m'offrait généreusement; simplement par ce que je savais que j'aurai
une note entre 9 et 10 sur 20.

Un jour un le professeur de français à demander à notre classe d'écrire un poème, et j'ai eu une des meilleurs notes dans cet exercice; alors sans me demander mon avis elle l'a fait lire à une autre classe. J'étais tellement fier de l'honneur qu'on me faisait, que je me voyais déjà vivre de ma plume.

Durant ces 4 années, ou j'ai passer mon CAP de comptabilité, il y a un de mes copains qui était fou de Tolkien, et il m'a amené avec lui dans une bibliothéque qui se trouve à Rosny sous Bois, et j'ai emprunté des livres; sans penser un seul instant que certains d'entre-eux j'allais les lire d'une traite.

Je ne pense pas qu'on choisisse un livre au hasard, dans mon cas le hasard à voulu que je croise sur mon chemin l'émission d'Alain Decaux, qui était diffusé sur antenne 2 , je jeudi soir a 22h30
et rediffusé le lendemain dans l'après-midi; et comme j'avais qu'une heure de cours dans l'après-midi, je me dépêchais de rentrer chez moi, pour ne pas louper une miette de cette émission; c'est
grace à cet historien que j'ai découvert l'histoire de Mata-Hari.

Si je lis des thriller, c'est que je suis dans l'incapacité de regardé un film policier.

les gens qui écrivent aux détenus sont des gens à part, car ils sont perpétuellement dans un monde ou la création et l'imaginaire est roi; c'est comme quand on est en train d'écrire un spectacle, on s'isole pendant quelques jours et avec quelques bout de mots chinés à droite et à gauche on crait un one man show, et je suis toujours surpris de me dire : j'ai réussi à aller jusqu'au bout de ce que je souhaitais; dans le cas Des pessimistes sont de retour et les pessimistes n'en font qu'a leur tête; c'est un spectacle à tiroir , ou je pouvais rajouter ou supprimer certains de mes textes; suivant l'humeur du moment.

En ce qui concerne les fables, il y a deux types de fables: ceux avec lesquelles je peux utiliser la gestuelle, et ceux dont je ne peux pas utiliser la gestuelle.

Dans les pessimistes sont de retour, j'ai rajouter en plus un bonnus qui expliquait pourquoi et comment m'étais venu l'inspiration pour écrire par exemple le texte qui parle du Sida.

Mon autoportrait

Je ne suis pas l'homme que vous croyez
Un dragueur invétérer
Un homosexuel avoué;
même si vous êtes pas loin de la vérité
Comment vous parler de ma bisexualiter?
Du fait que j'ai peur d'être aimé;
Que Vanessa Hellé,
Je n'ai jamais réussi à t'oublié;
malgré toute ces années écoulées
Tu es la seule femme que je souhaitais embrasser;
même si avec toi ce fut un bonheur
de courte durée.

vanessa 9 ans déjà

cela fait neuf longue année et pourtant personne n'a jamais réussi à prendre ta place dans mon coeur.
Le temps qui s'écoule si lentement qu'il ne fait que grandir ce mal incurrable, et pourtant j'éssaye par tout les moyens de cacher , ce que je considère comme une maladie honteuse.
Si jétait séropositive et que le comment petit à petit à me dévoré tel des termites affamés; j'accepterai cette fatalité.
Neuf ans et pourtant , j'ai l'impression que les événements de cette histoire ce sont déroulées hier, que mon coeur à fini de vivre, de croire à l'amour, d'exister dans un monde qu'il déteste de jours en jours.
Pourquoi après ton départ, cette terre qui n'a plus rien d'un Eden; ressemble de plus en plus à
un volcan en activité, et la question qu me turlupine est la suivante : Qui sera capable d'éteindre cet incendie?

3/08/2006

le chat

Le chat

C'est l'histoire d'un chat
qui était jaloux
comme un poux
Un jour il tomba amoureux
d'une chatte,
qui était encore plus jaloux
que lui,
de cette union naquit
un vrai amour,
qui ne fit que se solidifier
au fil des ans;
Car c'est bien connu,
que l'amour sans confiance;
ne dur jamais bien longtemps

3/01/2006

la bécasse

C'est l'histoire d'une Bécasse
qui n'avait pas d'as
dans sa godasse,
alors avec tout son audace
elle demanda à madame Limace
quelques liasse;
pendant que celle-ci
était dans ses paperasses.
Le résultat de ce face à face,
C'est qu'il ne faut pas prendre des Limaces
pour des Bécasses.
Quand je discute avec une personne
qui n'arrête pas de me prendre pour un con.
Je me demande à quel moment elle va
se rendre compte que je suis pas aussi con
que cela?
C'est m'a façon à moi de me moquer gentiment d'eux.

la belette

C'est l'histoire d'une Belette,
qui n'avait plus toute sa tête,
Un jour elle trouva un casse-noisettes,
qu'elle surnomma Josette.
Les gens de la rue,
quand il la voyait lui disait :
Turlututu et chapeau pointu.
Pour elle, les rires, les moqueries des autres,
n'existaient pas,
car elle avait trouvée son bonheur;
mais ceux qui l'injuriaient l'avait-il trouver?

Il y a une phrase qui dit qu'un fou n'est pas fou,
mais il a une vision des choses qui est différente
de la nôtre, et c'est pour cette raison qu'on a
du mal à le comprendre.
C'est en m'inspirant de cette phrase
que j'ai écris l'histoire de la belette.