3/18/2006

pourquoi les echos de Belleville

Ce qui m'a intrigué en écoutant la radio ou en regardant la télévision, c'est qu'il y avait quantité de personnes qui écrivaient des BLOG, et je pensais à tord qu'il fallait avoir quelques connaissances en informatique pur pouvoir ouvrir un blog; d'autre part, je pensais que BLOG s'écrivait Blogue.

Quand j'ai entendu qu'une personne du corps enseignant a été licencié, par ce qu'il a ouvert un blog dont les propos étaient soi-disant diffamatoire. Il faut avoir de la chance pour savoir qu'une personne autour de vous a un blog; à moins d'en parler, il y a peu de chance qu'on le sache; d'autre part ils sont des millions dans le monde à écrire sur un blog.

Le blog aujourd'hui, a tendance à remplacer le site personnel, ainsi que ceux qui racontaient leur vie dans des cahiers à spirales.

Je pensais que pour ouvrir un blog, cela me prendrais beaucoup de temps, pas du tout, en trois
minutes j'avais réussi à l'ouvrir ; grace au moteur de recherche qu'est Google.

Si j'ai demander à une personne le journal les Echo de Belleville, c'étais pour le mettre sur le
blog, mais la plupart des textes qu'il y a à l'intérieur du journal, sont écrit dans un language parlé et non dans une écriture littéraire, d'autre part il y a pas mal de bonnes idées, mais pour cela il faudra que les développes aux maximum de leur possibilité, en supprimant volontairement certains élèments, pour donner plus d'authenticité au texte; c'est pour cette raison que dorénavant je vais passer plus de temps à parler avec certaines personnes pour que ce blog soit plus vivant, et si j'en ai la possibilité j'y incorporerai des images.

Ce que je vais écrire maintenant fait parti du domaine artistique. Beaucoup de dialoguistes, des gens qui écrivent des chansons, des écrivains, ont ce que l'on peut nommé comme des photos flashs. C'est des images d'une banalité déconcertante, prenom comme exemple : Une femme est assise sur une chaise avec deux têtes d'oreillés derrière sont dos, et un peu plus loin je découvre sur un mur des palmiers, du sable et la mer. Qui peu penser que c'est deux images sont liées l'une à l'autre et que je vais écrire une nouvelle en incorporant certains éléments que j'ai en ma possession concernant cette personne. C'est sûrement de cette façon qu'on a écri Comme d'habitude de Claude François.