Le Wapiti

C'est l'histoire d'un Wapiti
qui ne dormait jamais à heure fixe,
car il aimait tellement son métier
de boulanger-patissier,
qu'il avait prit l'habitude de se coucher tard,
et de se lever tôt.
Quand certains clients lui demandait
si son travail n'était pas un boulot de chien,
il répondait :
-Si choisis ce métier, c'est qu'il me plait,
et que les contraintes son minime,
quand on fait un métier que l'on aime.

le Turbo

C'est l'histoire d'un Turbo,
qui avait beaucoup d'amis,
mais qui vivait confortablement
dans un bel appartement,
sans femme ni enfant.
Quand ses proches lui demandait :
- Pourquoi il n'avait pas de petite amie?
Sa réponse était sans équivoque :
-Trouver l'âme soeur est beaucoup plus dur
que de faire le parcours du combattant.

l'agneau

C'est l'histoire d'un Agneau
qui avait quantités d'histoires à raconté
sur tout ses voyages,
Il avait une telle verve vocale
que personne ne douta un seul instant
de ce qu'elle pouvait bien dire.
Un jour un petit veau fasciné
par tout ses récits,
décida qu'il était temps pour lui
de partir à l'aventure,
et ce qu'il découvrit, était à cent lieux
de ce qu'on lui avait raconté.
Depuis il préfére écouté différents témoignages
qu'un seul.

le poisson clown

C'est l'histoire d'un Poisson Clown
qui trouvait que sa vie était très monotone,
alors il commença dans un premier tant
à raconté des histoires à son fils,
âgé seulement de quelques mois;
qui naturellement ne comprenait rien
au parole de son père;
mais cela ne l'empêchait de sourire
à chaque fois que son papa
l'emmenait dans le monde de l'imaginaire.
Au fur et à mesure que son fils grandissait,
il ne s'arrêta pas pour autant de lui
raconter de jolie histoire.
Un jour son fils lui demanda :
-Papa, pourquoi aimes-tu autant raconter des histoires?
-Par ce que la vie me parais si triste, que je ne peux m'emmêcher
de l'embêllir, pour pouvoir voir le bon côté des choses.

la Chipie

C'est l'histoire d'une Chipie
qui s'était épris d'une Pie
qu'elle surnomma Skippi.
Un jour Skippi
disparue en pleine nuit.
La petite Chipie commença
à s'inquiéter pour lui.
Ses parents furent surpris
que leur fille,
puisse s'inquiéter pour autruis;
pourtant, il n'était pas bien loin
le petit bandit,
il était à deux pas d'ici,
car il était tombé amoureux
d'une autre pie,
qui lui avait fait des petits.
Deux jours plus tard Skippi,
sa femme, ainsi que ses petits
rentrèrent au nid,
et Chippie leurs offrirent le paradis
jusqu'a la fin de leurs vies.
Ce que l'on peut constater
à travers cette histoire,
c'est que l'amour ne s'explique pas,
il se vie tout simplement.

La chipie

okapi

C'est l'histoire d'un Okapi
qui croyait dur comme faire
que dans la vie,
il n'y avait pas d'interdit;
c'est dû moins ce qu'il crut
quand il était tout petit.
En grandissant,
il devint beaucoup plus obeissant,
car il tomba amoureux de la belle Anna,
qui lui apprit
que le bonheur cela à un prix.

le scorpion

C'est l'histoire d'un scorpion
qui avait comme ambition,
de devenir champion des additions.
Pourtant combien de gens lui on dit :
-Tu es cent fois meilleurs en dicertation,
ou en récitation;
alors pourquoi tu t'obstines autant
à vouloir faire des additions?
il leur répondit :
-Que voulez-vous que j'y fasse,
j'ai comme passion d'être un fou des additions.

la belette

C'est l'histoire d'une Belette
qui n'avait plus toute sa tête,
un jour elle trouva un casse-noisettes
qu'elle surnomma Josette.
Les gens de la rue,
Quand il la voyait lui disait:
Turlututu et chapeau pointu.
Pour elle les rires, les moqueries des autres,
n'existaient pas,
car elle avait trouvée son bonheur;
mais ceux qui l'injuriaient l'avaient t-ils trouver?

hibou

C'est l'histoire d'un Hibou
qui avait comme vocation
de devenir Marabout,
car un Marabout,
c'est celui qui dit tout
qui voit tout
et qui c'est tout,
car chacun d'entre-nous
peu devenir un Marabout
il suffit d'y croire c'est tout.

la bécasse

C'est l'histoire d'une Bécasse
qui n'avait pas d'as,
dans sa godasse,
alors avec tout son audace
elle demanda à madame Limace
quelques liasses;
pendant que celle-ci était dans
ses paperasses
Le résultat de ce face à face,
c'est qu'il ne faut pas prendre des Limaces
pour des Bécasses.

l'alouette

C'est l'histoire d'une Alouette,
qui aimait jouée de la trompette,
chantée à tue-tête,
allée dans les musettes;
n'importe quoi,
pourvu qu'on puisse faire la fête;
mais la vie n'est pas fait
que de rêves obsolètes,
Il faut penser chaque jour,
à gagner sa baguette.

l'araignée

C'est une Araignée,
qui aimait tant jouée
à la balle aux prisonniers,
qu'elle oublia,
jour après jour de mangée.
Un matin, elle se réveilla
avec des crampes d'estomacs,
et peu de temps après,
elle mourut dans l'anonymat.
Je sais très bien que cette histoire
est immorale,
mais jouer ou manger
il faut choisir.

Bernard l'ermite

C'est l'histoire d'un Bernard l'Ermite
qui avait plein de nouvelles inédites,
mais il ne souhaitait pas qu'on les édites,
car il pensait qu'elles étaient mal construites.
A sa mort,
son fils les envoya à un éditeur,
qui après les avoir lu l'édita;
sans penser un seul instant,
que son livre deviendrait très rapidement
un best-seller.
Celui qui ne croit pas en lui,
à peu de chance de réussir dans la vie.

Bernard l'ermite

C'est l'histoire d'un Bernard l'Ermite
qui avait plein de nouvelles inédites,
mais il ne souhaitait pas qu'on les édites,
car il pensait qu'elles étaient mal construites.
A sa mort,
son fils les envoya à un éditeur,
qui après les avoir lu l'édita;
sans penser un seul instant,
que son livre deviendrait très rapidement
un best-seller.
Celui qui ne croit pas en lui,
à peu de chance de réussir dans la vie.

le cabillaud

C'est l'histoire d'un Cabillaud
qui n'arrêtait pas de parler
de ses bourrelés,
car perdre du poids
lui paraissait aussi insurmontable
que de jour du hautbois.
Pourtant, il fallait bien trouver
une solution pour maigrir,
pour ne pas devenir aussi gros que Casimir.
Il essaya quantités de régimes,
ou il se sentait plus une victime anonyme
de tout ceux qui permettent mon et merveille.

le chien

C'est l'histoire d'un chien
qui était très avare de ses sous.
Quand il rentrait dans une église,
il donnait toujours la plus petite pièce
qu'il avait dans son porte-monnaie.
Les gens qui le connaissaient
le surnommaient Picsou.
C'est seulement à sa mort
que les habitants du village
découvrirent que Picsou
et le donateur anonyme
était la même personne.

le chat

C'estl'histoire d'un chat
qui était jaloux
comme un poux,
Un jour il tomba amoureux fou
d'une chatte,
qui était encore plus jaloux
que lui,
De cette union naquit un vrai amour
entre c'est deux êtres,
car ils se faisaient mutuellement
confiance,
Et c'est bien connu,
que l'amour sans confiance;
C'est comme aimer quelqu'un
en ne faisant que de le tromper.

la rue

Dans cet endroit
ou il fait froid
Je vois des gens qui se promènent
dans la rue
à moitié nus

Tout a commencé
par un café
puis un bonjour
qui avait le visage de l'amour.

Dans cet hiver
sans repère
je voyage de galères
en galères.

La tendresse

La tendress
C'est quelquefois ne plus s'aimer
mais être deux
De se trouver à nouveau deux
C'est refaire pour quelques instants
un monde en bleu
Avec le coeur au bord des yeux
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse
C'est quand on peut se pardonner
sans réfléchir
Sans un regret sans rien se dire
C'est quand on veut se séparer
sans se maudire
Sans rien casser, sans rien détruire
La tendresse, la tendresse,
La tendresse
C'est un geste, un mot, un sourire
quand on oublie
Que tous les deux on a grandi
C'est quand je veux te dire
je t'aime et que j'oublie
Qu'un jour ou l'autre l'amour finit
La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse.

La tendresse, la tendresse, la tendresse,
La tendresse. (parlé)

Allez viens.

Paroles de Daniel Guichard et Jacques Ferrière.

Chanson pour l'Auvergnat

Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qu m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez.
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un feu de joie.
Toi l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel.

Elle est à toi cette chanson
toi l'hôtesse qu sans façon
M'as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m'ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S'amusaient à me voir jeûner.
Ce n'était rien qu'un bout de pain
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand festin.
Toi l'hôtesse quand tu mourras
Quand le croq'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au Père éternel.

Elle est à toi cette chanson
Toi l'étranger qui sans façon
D'un air malheureux m'as souri
Lorsque les gendarmes m'ont pris
toi qui n'as pas applaudi quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
Riaient de me voir emmener.
Ce n'était rien qu'un peu de miel
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un grand soleil.
Toi l'étranger quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au Père éternel.

Parole de Georges Brassens.

Barbara

Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Epanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas

Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et ty t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara

Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.

Parole de Jacques Prévert.

Petit papa Noël

C'est la belle nuit de Noël,
La neige étend son manteau blanc
Et,les yeux levés vers le ciel,
A genoux les petits enfants,
Avant de fermer les paupières,
Font une dernière prière.

Petit Papa Noël,
Quand tu descendra du ciel
Avec des jouets par milliers,
N'oublie pas mon petit soulier.

Mais, avant de partir,
Il faudra bien te couvrir,
Dehors tu vas avoir si froid,
C'est un peu à cause de moi.

Il me tarde tant que le jour se lève
Pour voir si tu m'as apporté
Tous les beaux joujoux que je vois en rêve
Et que je t'ai commandés.

Petit Papa Noël,
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers,
N'oublie pas mon petit soulier.

Le marchand de sable est passé,
Les enfants vont faire dodo
Et tu vas pouvoir commencer,
Avec ta hotte sur le dos,
Au son des cloches des églises,
Ta distribution de surprises.

Et, quand tu seras sur ton beau nuage,
Viens d'abord sur notre maison,
Je n'ai pas été tous les jours très sage,
Mais j'en demande pardon.

Petit Papa Noël,
Quand tu descendras du ciel
Avec des jouets par milliers,
N'oublie pas mon petit soulier.
Petit Papa Noël.

Parole de Raymond Vincy

On prend la route

Cette chanson est une dès celle que j'aime le plus

Y'a des moments pour rire
Et des moments pour pleurer,
Y'a des silences à dire
Et des mots qu'il faut garder.

Y'a des hommes qu'il faut voir
et d'autres qu'il faut aimer,
Mais surtout pas les croire
quand il faudra s'en aller.

On prend la route
on s'barre
on laisse les doutes
sur le trottoir
on prend la caisse
on s'casse
rien qui nous blesse
rien qui nous lasse.

Y'a des ennemis qui pleurent
et des amis qui trahissent;
Un drôle de mal au coeur
quand tous les serpents se glissent.
Y'a des erreurs à faire
pour ne jamais regretter
qu'il a fallu se taire
bien avant de s'en aller.

On prend la route
et on se barre
on laisse les doutes
sur le trottoir
on prend la caisse
on s'casse
rien qui nous blesse
rien qui nous lasse.

On prend la route
et on dégage,
même si ça coûte
on déménage.
On prend la caisse,
tant pis pour eux,
ceux qui nous laissent
devenir vieux.

je l'ai bien le sourire
ce dernier mot sur ta bouche,
j'le garde en souvenir
comme un baiser qui me touche.
Y'a des erreurs à faire
pour ne jamais regretter,
qu'il a fallu se taire
bien avant de s'en aller.

On prend la route
et on se barre,
on laisse les doutes
sur le trottoir.
On prend la caisse
on s'casse
rien qui nous blesse,
rien quui nous lasse.

On prend la route
et on dégage
même si ça coûte
on déménage.
On prend la caisse
tant pis pour eux,
ceux qui nous laissent
devenir vieux.

Celine

Cette chanson d'Hugues Aufray à fait partie de mon enfance.

Dis-moi Celine les années ont passé
Pourquoi n'as-tu jamais pensé à te marier?
De toute mes soeurs qui vivaient ici
Tu es la seule sans mari.

REFRAIN :
Non non non, ne rougis pas, non ne rougis pas
Tu as tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas, non ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux!

Dis-moi Céline toi qui es notre aimée
Toi qui fus notre mère toi l'as remplacée
N'as-tu vécu pour nous autrefois
Que sans jamais penser à toi?

REFRAIN
Dis-moi Céline qu'est-il donc devenu
Ce gentil fiancé qu'on n'a jamais revu?
Est ce pour ne pas nous abandonner
Que tu l'as laissé s'en aller?

REFRAIN
Dis-moi Céline ta vie n'est pas perdue
Nous sommes les enfants que tu n'as jamais eus
Il y a longtemps que je le savais
Et je ne l'oublierai jamais

PARLE :
Ne pleure pas, ne pleure pas
Tu as toujours les yeux d'autrefois
Ne pleure pas, ne pleure pas
Nous resterons toujours près de toi.

S.D.F!!!

Dis moi que fais tu
Dans le noir dans le froid
Pourquoi est tu à la rue
Que faisais tu avant ça

J'avais une famille un travail
Une vie bien remplie
J'avais toujours le moral
J'étais heureux et puis...

Inscription à l'ASSEDIC
Epouse qui allait ailleurs
Je n'avais plus assez de fric
Pour la couvrir du meilleur...

Le pouvoir d'achat diminuant
De plus en plus au fil du temps
Pour ma femme et mes enfants
J'étais devenu un perdant...

Un autre plus respectacle
Femme et enfants a charmé
Me suis trouvé seul à ma table
Avec mes factures à soigner

Une bouteille pour compagnie
J'ai fini par perdre pied
Mes impayés à ne plus finir
De chez moi j'ai été viré

Un carton, une cage d'escalier
Un abri bus, quand il fait froid
La main tendue en charité
C'est mon univers à moi

Par une nuit glaciale
Dans un carton endormi
Seul comme un animal
Il dit ADIEU à la vie...

SDF

Une fois de plus mon âme s'égare
dans mes pensées obscures et noires
alors je roule un pétard
pour oublier le désespoir
Est il trop tôt ou bien trop tard
je voudrais bien perdre la mémoire

Pourquoi renoncer à l'envie,
de partager à deux la vie
qui s'offre à nous comme un rubis,
comme un joyaux que je ravis
et qui ranime en moi l'envie
de te donner ce qu'on t'a pris!

Pourquoi gâcherais tu ta vie
pour ce crétin qui t'a meurtrit,
qui a brisé toutes tes envies
qui t'a blessé, je le maudit!
j'ai tant de haine vis à vis d'lui
tellement de peine coeur en sursis

Depuis ce jour l'amour tu fuis
me laissant seul et sans abri
Je suis perdu je cherche un toit
de vivre sans toi quel désarroi,
sans ton amour je ne suis plus moi,
sans ta présence tout n'est qu'effroi

Mais tout ç la n'a plus d'importance,
ma vie n'ayant plus aucun sens
car je suis ivre et sans défense
car doucement la mort s'avance,
emportant dans sa quintessence
tous mes désirs et rêves d'enfance.

A l'innocence, quintessence de la vie
à l'amour trahi, qui me laisse en sursis
à la femme que j'aime, qui est partis
loin d'ici...
texte de iah-hel

dominisu

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25 avril 2006

Je regrette

Pourquoi j'ai jamais eu de relation sexuelle?

Je me sentais pas physiquement et mentalement prés pour vivre une relation amoureuse, et d'autres part j'ai fais d'autres choix qui sont peut-être discutable, mais qui correspondent à mes convictions. Par la suite j'ai découverts que je suis incapable de faire l'amour avec une personne que je n'estime pas et que je ne respecte pas; ce qui implique que je suis dans l'impossibilité de coucher avec la personne dès le premier soir.

Pour moi l'amour ce n'est pas un jeu; peut-être par ce que je suis une personne sentimentale?

Tout a commencé par un café

Quand j'ai ouvert ma boîte aux lettres pour prendre mon courrier, il y avait une grande enveloppe ou il y avait à l'intérieur la bande-dessinée que j'avais commandé et qui a pour titre : Tout a commencé par un café, et qui parle des Sans-Abris.

Quelques jours auparavant en allant sur le site : Je peux vous aider, j'ai découvert l'adresse des bancs publics, ensuite j'ai pris le téléphone et j'ai appelé la présidente de l'association.
On s'est donné rendez-vous au métro : La Muette juste à côté du kiosque à journaux à 13heures. On a été boire un café et pendant plus d'une heure, on a parlé de tout; comme si on était de vieux amis, qui s'étaient perdu de vus, et qui venaient juste de se retrouver.

De nos jours les gens ont tendance à se protéger consernant leur vie privée, à mentir pour tout et n'importe quoi; comme s'il avait un terrible secret à cacher.

Ma vie

Le blog l'echo de Belleville aurait très bien pu s'appeler : Etre différent et accepter la différence de l'autre. Quand je parle de ma vie, c'est uniquement dans un but de témoigné et je n'ai pas la prétention de tout savoir.

Il y aura dans ce blog des nouveautés, comme des recettes de cuisine originales et pas très cher,
des poèmes, des chansons, qui a mes yeux méritent d'être connus. Pour moi le blog, c'est avant tout un lieu de créativités, une ouverture différente sur le monde qui nous entoure, c'est pour cette raison que je lis de temps à autres les blogs des autres personnes.

Tchou! Tchou! Le petit train

Tchou! Tchou! Le petit train, c'est la première chanson que j'ai appris à l'école.

De bon matin
Un tout petit train
Roule roule avec entrain
La vielle loco à vapeur
Dit bonjour aux petites fleurs

Quelle chance! Quel beau paysage!
Quelle chance! Ah le beau voyage!
Quelle chance! Vive le train des vacances!

Tchou! tchou! le p'tit train
Ouacadoua! Va bon train!
Dring dring un virage
Bing et bing un aiguillage
Et plein d'autos
Au passage à niveau

Tchou! Tchou! le p'tit train
Ouacadoua! le malin
Tire tire ses wagons
En sifflant une chanson
On a d'la chance
De partir en vacances

Vite monsieur le chef de gare
Siffle le départ on est en retard
J'ai trois collines à grimper
Deux rivières à traverser

Quelle chance! Quel beau paysage!
Quelle chance! Ah le beau voyage!
Quelle chance! Vive le train des vacances!

Tchou! tchou! le p'tit train
Ouacadoua! Va bon train!
Dring dring un virage
Bing et bing un aiguillage
Et plein d'autos
Au passage à niveau

Tchou! tchou! le p'tit train
Ouacadoua! le malin
Tire tire ses wagons
En sifflant une chanson
On a d'la chance
De partir en vacances

Roule roule et danse le tchou des vacances
Roule roule et danse le tchou des vacances

Tchou! tchou!...

Rosalie

Rosalie de Carlos. Tout les dimanches quand j'étais un petit garçon, je dansais sur cette chanson avec ma mère.

Rosalie Rosalie pauvre de moi
Tous les jours tous les jours je pense à toi
Ca vient d'où ma doudou ton grand dédain
Je suis seul au dodo j'ai du chagrin

Rosalie Rosalie doudou dodu
Tu me tues je suis fou je suis foutu
Je revois ma doudou je me souviens
Qu'elle dansait qu'elle dansait qu'elle dansait bien

Qu'elle dansait qu'elle dansait qu'elle dansait bien
Qu'elle chantait qu'elle chantait qu'elle chantait bien
Qu'elle m'aimait qu'elle m'aimait qu'elle m'aimait bien
Qu'elle mentait qu'elle mentait qu'elle mentait bien

Rosalie Rosalie Oh
Rosalie Rosalie Ah
Rosalie Rosalie Oh
Rosalie Rosalie Ah

Rosalie Rosalie ma rose à moi
C'est comme une maladie qui n'guérit pas
J'ai le pouls ma doudou qui bat trop fort
Donne-moi rendez-vous ou je suis mort

Rosalie Rosalie dans quel état
Tu m'as mis cet été dans quel émoi
J'adorais ma doudou que je me souviens
Qu'elle dansait qu'elle dansait qu'elle dansait bien

Mais qu'est-ce que t'as doudou dis donc
Doudou amadoue-toi donc
Dédé au dodo c'est bidon
Moi doudou j'ai tous les dons

Rosalie Rosalie Oh
Rosalie Rosalie Ah

Le Père Noël du supermarché

Quand j'étais un petit garçon, tout les dimanches matin j'écoutais : Le Père du supermarché chanté par Carlos, ainsi que Rosalie.

Dès que je sors de l'école
Je cours au supermarché
Quand j'ai pas eu de colle
Quand tout a bien marché

Tu poses devant la porte
Avec ta hotte sur le dos
Les enfants que tu portes
T'embrassent pour la photo

REFRAIN

Moi je sais que tu es vrai
C'est à toi que j'ai écrit
Mais je te reconnais
T'es mon ami

Ceux des autres magasins
Ne sont pas venus du ciel
Mais toi j'en suis certain
Tu es le Père Noël

Tu me souris dans ta barbe
Tu plisses un peu tes bons yeux
Et plus je te regarde
Plus t'as l'air du bon dieu

Mais le temps passe trop vite
Surtout avec un copain
Il faut que je te quitte
On se reverra demain

Moi je sais que tu es vrai
C'est à toi que j'ai écrit
Mais je te reconnais
T'es mon ami

Ceux des autres magasins
Ne sont pas venus du ciel
Mais toi j'en suis certain
Tu es le Père Noël

Moi je sais que tu es vrai
C'est à toi que j'ai écrit
Mais je te reconnais
T'es mon ami

Ceux des autres magasins
Ne sont pas venus du ciel
Mais toi j'en suis certain
Tu es le Père Noël.

a la gare Saint-Lazare

A la gare Saint-Lazare est un texte que j'ai découvert par hasard en ouvrant un livre contenant une centaine de chansons; pour la plupart connues et je crois qu'elle mérite d'être lu, car c'est un très joli texte.

A la gare Saint-Lazare,
A l'horloge pendue
J'ai compté quatre quarts
Et tant de pas perdus.
A la gare Saint-Lazare
J'ai lu et j'ai relu
Tous les journaux du soir
Et tu n'es pas venu.
J'interrogeais les visages des gens
J'avais le coeur battant
La tête qui tournait
J'ai cru te voir cent fois
A travers la cohue
Mais ce n'était pas toi
C'était des inconnus
Des inconnus
Et partout je l'ai guetté
J'ai couru les guichets
Renversé les parquets
Heurté les contrôleurs
Bousculé les porteurs
Pendant que sur les quais
Des foules s'embarquaient

A la gare Saint-Lazare,
A l'horloge pendue
Il est beaucoup trop tard
Et tu n'es pas venu
J'ai pris un verre au bar
J'ai beaucoup, beaucoup bu
En rêvant de départs
Vers des cieux inconnus
Je suis parti
Dans un grand wagon-lit
Vers Mantes la Jolie
Nanterre la Folie
Courant vers les lumières
De??? les Bruyères
Chatout le Vésinet
Vers Saint-germain-en-laye
Moi je roulais
New Haven et Chicago
Saint Valery en Caux
New York San Francisco
C'est idiot mais tant pis
D'avoir raté le train
Raté le dernier train
Pour la Californie

A la gare Saint-Lazare,
A l'horloge pendue
Il est beaucoup trop tard
Et tu ne viendras plus
Tout le monde est parti
Il n'y a plus que moi
Je m'en fous car je suis
Ronde comme un petit pois
Je me donne un grand bal
Salle des pas perdus
Sous l'horloge infernale
Et je ne t'en veux plus
A travers le brouillard
Qui tourne autour de moi
A la gare Saint-Lazare
Moi je danse avec toi

(Texte de Pierre Delanoë, Jean Renard)